Jamel Debbouze a commis un meurtre ?

Le 17 Janvier 1990, : Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et Marlène
ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui
arrive à 150 km à l'heure le faucha et laissera aussi des séquelles é
Debbouze, cette célèbre main qu'il cache obstinément dans se poches.
Marlène ADMETTE est catégorique : « c'est bien Jamel Debbouze qui a tué
mon fils » annonce Marlène.

« J'affirme que Jamel Debbouze est l'assassin de mon fils, c'est lui
qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera d'admettre Marlène
ADMETE. « Immédiatement après l'accident plusieurs témoins du drame ont
affirmé sans hésitation que c'est Jamel Debbouze qui avait poussé mon
fils sur la voie ferrée. Et c'est à ce moment là Que Jamel a lui-même
été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous
retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr
l'Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANA qui
persistera dans ses déclarations »

Jamel fut poursuivit pour homicide involontaire suite a la plainte
déposée par les ADMETTE mais il obtiendra un non-lieu, et Jamel n'aura
jamais dénié présenté ses excuses à la famille ADMETTE venu dans l'Ile
de la Réunion pour rendre hommage à leur fils disparu.

« Il n'est pas malade. Il a eu peur c'est pour cette raison qu'il
n'est pas venu. Mais on ne lâchera pas. Il faut que la vérité éclate »
conclut Michel. « Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner
l'adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme
un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et
ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n'a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à
piégé mon fils en lui cachant qu'ils était accompagné de voyous qui en
voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l'on a
d'ailleurs jamais retrouvé. On ne nous a rendu que le corps. Oui je
c'est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en
poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.